Cette image présente une sculpture fascinante et surréaliste d'un chien, mêlant l'organique et le mécanique dans un style qui évoque à la fois l'innocence et l'étrangeté. La tête du chien est d'un blanc laiteux, avec un museau allongé et arrondi qui lui donne un air amical et cartoonesque. Ses yeux, grands et ronds, sont d'un jaune doré brillant, apportant une touche de vivacité à son expression. Le corps du chien est une merveille d'ingéniosité visuelle. Il est composé d'un réservoir transparent rempli de boules colorées et brillantes, rappelant des bonbons ou des billes. Ces sphères multicolores créent un contraste saisissant avec le blanc de la tête et des pattes, ajoutant une explosion de couleur au centre de la sculpture. Les pattes et le cou du chien sont constitués de ressorts métalliques entrelacés, donnant l'impression d'une flexibilité mécanique. Ces éléments ajoutent une dimension ludique et presque robotique à la figure. Les pieds du chien sont stylisés, ressemblant à des os ou à des pattes de cartoon, avec une teinte rougeâtre à leur extrémité qui contraste avec le blanc dominant. L'ensemble de la sculpture repose sur un fond noir, ce qui accentue les couleurs vives et les formes blanches brillantes, créant un effet de profondeur et de mise en scène dramatique. Cette œuvre combine habilement des éléments de design industriel, d'art pop et de surréalisme, créant une pièce qui est à la fois fantaisiste et légèrement inquiétante. Elle invite le spectateur à réfléchir sur les notions de jouet, d'animal de compagnie, et sur la frontière entre le vivant et l'artificiel. Le tout dans un style joyeusement pop. This image presents a fascinating and surreal sculpture of a dog, blending organic and mechanical elements in a style that evokes both innocence and strangeness. The dog's head is milky white, with an elongated, rounded muzzle that gives it a friendly and cartoonish appearance. Its eyes, large and round, are a bright golden yellow, adding a touch of liveliness to its expression. The body of the dog is a marvel of visual ingenuity. It is composed of a transparent reservoir filled with colorful, shiny balls, reminiscent of candies or marbles. These multicolored spheres create a striking contrast with the white head and legs, adding an explosion of color to the center of the sculpture. The dog's legs and neck are made of interlaced metal springs, giving the impression of mechanical flexibility. These elements add a playful and almost robotic dimension to the figure. The dog's feet are stylized, resembling bones or cartoon paws, with a reddish tint at the ends that contrasts with the dominant white. The entire sculpture rests on a black background, which accentuates the bright colors and shiny white forms, creating a dramatic sense of depth and staging. This work skillfully combines elements of industrial design, pop art, and surrealism, creating a piece that is both whimsical and slightly unsettling. It invites the viewer to reflect on notions of toys, pets, and the boundary between the living and the artificial, all in a joyfully pop style.

candy le chien

La place du chien dans l’art, c’est pas du menu fretin, c’est du lourd, du costaud. Ça s’étale sur les âges et les territoires comme une vieille couverture de pique-nique qu’on sortirait pour refaire un tour.

Dans les anciennes civilisations, l’art égyptien et grec, ils en avaient des toutous. Les louveteaux de la chasse, les gardiens des temples, les fidèles compagnons à quatre pattes. Les chiens, c’était la garantie, la loyauté gravée dans la pierre.

Dans la peinture classique, on trouvait les toutous aux côtés de la noblesse et de la royauté. Style numéro 1 du portrait du roi Charles II d’Angleterre avec son épagneul, œuvre de Sir Peter Lely. Ces cabots étaient plus que des bêtes, c’étaient des trésors.

En art contemporain, les clébards continuent d’inspirer les artistes. La loyauté, la fidélité, la protection, mais aussi la vulnérabilité, tout ça, c’est le canevas. Certains les dessinent comme la réalité, la crache, d’autres les floutent dans l’abstraction, c’est la vision qui guide le coup de pinceau.

Dans l’art populaire, les murs et les rues s’animent avec les graffiti, les sérigraphies, et les toutous sont là, parmi les couleurs, les formes, et les messages.

Les chiens ont même trouvé leur niche en art numérique et en mèmes. Le fameux « Doge, » il a fait le tour du web, le cabot, avec son air débonnaire et ses mots en mode « wow, » il a conquis la toile.

Pour résumer, les chiens dans l’art, c’est une saga qui file sur des siècles. Ils sont l’expression des émotions, des thèmes, des idées, ils reflètent notre rapport à ces bêtes et à leur rôle dans nos vies. Ça, c’est du grand art, mec, à la patte du chien fidèle.

iggy pop & kate pierson ; « little candy »

KATE PIERSON

Kate Pierson est une chanteuse et musicienne américaine, surtout connue comme membre fondatrice du groupe new wave emblématique The B-52’s. Née le 27 avril 1948 à Weehawken, New Jersey, Kate Pierson a joué un rôle crucial dans la définition du son distinctif et décalé du groupe, avec sa voix puissante, sa présence scénique vibrante et son sens unique de la mode.

En 1976, Kate Pierson cofonde The B-52’s à Athens, en Géorgie, avec Fred Schneider, Cindy Wilson, Ricky Wilson, et Keith Strickland. Le groupe devient rapidement célèbre pour son mélange éclectique de rock, de pop, et de musique dance, associé à des performances énergiques et des visuels colorés. Pierson, avec sa coiffure beehive signature et son style extravagant, devient l’un des visages les plus reconnaissables du groupe.

Le premier album éponyme de The B-52’s, sorti en 1979, comprend des hits comme « Rock Lobster » et « Planet Claire », qui captivent le public avec leur son novateur et leurs paroles surréalistes. La voix de Kate, souvent en harmonie avec celle de Cindy Wilson, joue un rôle clé dans le succès du groupe.

Au fil des années 1980, The B-52’s continuent de connaître un succès mondial avec des albums comme Wild Planet (1980) et Whammy! (1983), mais c’est en 1989 que le groupe atteint le sommet de sa popularité avec l’album Cosmic Thing. Cet album, qui comprend des tubes comme « Love Shack » et « Roam », propulse le groupe au rang de superstars internationales, et Pierson devient encore plus connue pour sa voix puissante et son charisme.

En dehors de son travail avec The B-52’s, Kate Pierson collabore avec de nombreux autres artistes. Elle prête sa voix à des chansons à succès comme « Shiny Happy People » de R.E.M. en 1991, où son timbre joyeux ajoute une touche lumineuse au morceau. Elle collabore également avec Iggy Pop sur le titre « Candy » en 1990, qui devient un succès commercial important.

En 2015, Kate Pierson sort son premier album solo, Guitars and Microphones, un projet qui montre son talent en tant qu’auteur-compositeur et son habileté à explorer divers styles musicaux tout en restant fidèle à ses racines new wave.

Tout au long de sa carrière, Kate Pierson est célébrée non seulement pour sa contribution musicale, mais aussi pour son engagement en faveur des droits des animaux et des causes environnementales. Son hôtel écologique, Kate’s Lazy Meadow, situé dans les montagnes Catskill, reflète son amour pour la nature et son désir de vivre en harmonie avec l’environnement.

Kate Pierson reste une figure emblématique de la musique pop et alternative, une artiste dont l’influence perdure dans le paysage musical. Sa voix, son style et son esprit libre continuent d’inspirer des générations de fans et de musiciens.