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crâne facettes

Une représentation d’un crane en « low poly art » apporte une esthétique distinctive et contemporaine  se démarquant de la représentation classique. L’utilisation de formes géométriques simplifiées et d’angles nets crée une composition visuellement plus directe.

En simplifiant la forme du crane, le « low poly art » permet de mettre l’accent sur l’essentiel. Les détails superflus sont éliminés, laissant place à une structure fondamentale, à une symétrie évidente.

En résumé, une représentation d’un crane en « low poly art » apporte une esthétique contemporaine, une simplicité.

the doors : « break on through to the other side »

LES DOORS

Les Doors, c’était pas juste un groupe, c’était une foutue tempête. Une bande de types qui jouaient comme si chaque note pouvait être la dernière, comme si la vie était un coup de dé et que le dé était toujours en train de rouler. Y’avait Morrison, ce chien fou de Morrison, un poète déglingué qui prenait la scène comme un ring, prêt à en découdre avec la vie, la mort, l’amour, tout ce qui bouge. Ce gars-là, il regardait l’abîme et il en riait, ou peut-être qu’il pleurait, on savait jamais vraiment avec lui.

Les autres, ils suivaient, pas des suiveurs, non, des gars qui savaient ce qu’ils faisaient. Manzarek avec ses claviers, des sons qui te mettaient la tête à l’envers, des orgues qui résonnaient comme des prières ou des blasphèmes, on sait plus. Krieger, lui, il grattait sa guitare comme un chat enragé, des riffs qui te collaient à la peau, te suivaient dans la rue, dans tes cauchemars. Et Densmore, ce foutu batteur, il tapait sur ses fûts comme si sa vie en dépendait, comme si c’était son dernier tour de piste.

Et leur musique, putain, leur musique… C’était du pur, du brut. Du rock qui te prenait à la gorge, du blues qui te faisait mal là où ça fait du bien. « Light My Fire », ça te donnait envie de foutre le feu à tout ce que tu connaissais et « The End », ça te foutait face à la fin du monde, ton propre monde qui s’écroule sous le poids de ses propres mensonges.

Morrison, lui, il était là pour tout foutre en l’air, pour détruire les illusions. Il chantait la vie avec une bouteille à la main et le diable aux trousses, pas pour faire joli, mais parce qu’il savait que tout ça c’était une farce, une putain de farce et il voulait que tu le saches aussi.

Ils jouaient comme s’il n’y avait pas de lendemain et souvent, y’en avait pas. C’était une danse avec la mort, un bal des maudits, mais bordel, c’était beau. Et puis ils se sont barrés, comme ça, laissant derrière eux un bordel magnifique, des chansons qui résonnent encore comme des échos d’un monde qui aurait pu être, mais qui n’a jamais été.

Les Doors, c’est pas du rock pour faire danser les gamins, c’est du rock pour ceux qui savent que la vie, c’est pas une putain de fête foraine, mais une descente aux enfers et que parfois, dans l’obscurité, on peut trouver un peu de lumière. Un peu de vérité. Ou peut-être juste un peu plus de merde. Mais bon, ça aussi, c’est la vie.