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warhol

Basquiat et Warhol se sont croisés dans un resto de New York des années 80. Warhol, légende déjà bien accrochée au firmament du pop art, pape des conserves de soupe et des célébrités en série, a flairé quelque chose chez ce môme.

Cette rencontre fut une collision entre deux mondes. Basquiat avec son énergie brute, Warhol avec son art iconique. Ils ont mis leurs pinceaux ensemble, créé des toiles où le cri de Basquiat s’entremêlait avec la froideur calculée de Warhol. Des signatures conjointes, des chefs-d’œuvre conjurés dans l’alchimie des contrastes.

Mais entre eux, ce n’était pas toujours une histoire en couleur. Warhol, le mentor et Basquiat, le gamin qui en voulait plus. Parfois, ça grondait sous la surface. Basquiat, submergé par la renommée de Warhol, se demandant où il était dans ce foutu tableau.

Les images existent, des clichés saisis par l’objectif d’un Warhol passionné de photographie. Des instants volés de création, des étincelles de deux esprits qui s’affrontent et fusionnent.

Puis, tout s’est effondré. Warhol est parti, laissant Basquiat avec un vide énorme. La mort de son mentor a laissé des cicatrices, des toiles en hommage pleines de douleur et de questions sans réponse.

C’était une époque, une épopée dans les rues de New York, où deux géants de l’art se sont rencontrés, ont collaboré, se sont confrontés laissant derrière eux une empreinte indélébile sur la toile rugueuse de l’histoire de l’art.

 

basquiat-warhol, à quatre mains